قصيدة" أمنية"
شعر: وهيبة ڤويّة،
ترجمها إلى الفرنسيّة الفيلسوف محمّد الحسن
الزوزي الشابّي
Traduction en langue française : ZOUZI CHEBBI Mohamed Hassen.
Vœu
Je survis dans l’espoir et l’errance de ma passion
Comme ces vols de papillons sans âge
Ma nuit confidente reçoit mes plaintes et griefs
Ce bien aimé se retirant en excuses
Je l’ai aperçu à la pénombre brumeuse des rêves
Dans l’éclaircie éveillée des songes
Ami ! Amorce le feu que de désir m’embrase
Souffle fort dans mes poumons l’espérance des lumières
Par l’absence et le manque de ta présence
Je demeure fidèle au serment que je fredonne souvent
Un chuchotement odorant d’une altitude exotique
Mon espoir pousse et grandit verdit au balcon du rêve
L’espérance n’est-elle pas ce tapis volant des légendes
Si seulement j’avais les ailes du vent
Mon âme s’élancerait d’un bond et volerait vite
Vers ton astre lointain…Ah si j’étais… !
J’ouvrirai en toi une brèche en plexus la porte du soleil
Un arc triomphal aux couleurs de l’espérance
Si seulement je pouvais fracturer les verrous de l’obscurité
Je tisserai les fils de l’aurore à l’ivresse de la rosée matinale
Que volent s’ébattent dansent les oiseaux du jardin parfumé
Que reprennent les chansons d’amour la voix des multitudes
Ah si seulement j’avais…
J’aurais semé soigné les jeunes pousses de mes rêves
Cultivé des champs de poèmes et de mystères érotisés
Que batte la cadence du cœur son message
Qui portera mon amour et mon aveu
En vols de baisers.
Comme ces vols de papillons sans âge
Ma nuit confidente reçoit mes plaintes et griefs
Ce bien aimé se retirant en excuses
Je l’ai aperçu à la pénombre brumeuse des rêves
Dans l’éclaircie éveillée des songes
Ami ! Amorce le feu que de désir m’embrase
Souffle fort dans mes poumons l’espérance des lumières
Par l’absence et le manque de ta présence
Je demeure fidèle au serment que je fredonne souvent
Un chuchotement odorant d’une altitude exotique
Mon espoir pousse et grandit verdit au balcon du rêve
L’espérance n’est-elle pas ce tapis volant des légendes
Si seulement j’avais les ailes du vent
Mon âme s’élancerait d’un bond et volerait vite
Vers ton astre lointain…Ah si j’étais… !
J’ouvrirai en toi une brèche en plexus la porte du soleil
Un arc triomphal aux couleurs de l’espérance
Si seulement je pouvais fracturer les verrous de l’obscurité
Je tisserai les fils de l’aurore à l’ivresse de la rosée matinale
Que volent s’ébattent dansent les oiseaux du jardin parfumé
Que reprennent les chansons d’amour la voix des multitudes
Ah si seulement j’avais…
J’aurais semé soigné les jeunes pousses de mes rêves
Cultivé des champs de poèmes et de mystères érotisés
Que batte la cadence du cœur son message
Qui portera mon amour et mon aveu
En vols de baisers.
Texte
arabe de Wahiba Gouia,